Rebonjour à mes lecteurs adorés !
Eh oui, la vilaine que je suis n'a pas publié de nouveau chapitre depuis pas mal de temps. Pour vous dire la vérité, j'avais des tas de choses à faire, et écrire le prochain chapitre à publier n'est malheureusement pas rentré dans mes priorités. C'est que ça prend du temps, d'écrire. Et l'inspiration, ça ne vient pas comme ça. J'ai donc décidé, pour faire patienter ce qui n'auraient que ça à faire de lire mon blog, de rajouter quelques gayotteries. Après tout, c'était le but de ce blog, au départ. Les histoires ne sont venues qu'après.
Donc allons-y pour le coup de coeur cinéma du moment. N'attendez pas une nouveauté, je ne vais voir LE film du moment que ce soir. Je vais donc vous parler du film d'hier soir, et plus particulièrement de son actrice principale.
Avez-vous vu Les 101 dalmatiens ? Je suppose que oui. Les Disney, ont les a tous vus, même ceux qui sont sortis avant notre naissance, n'est-ce pas ? (Qui n'a pas eu le malheur de voir Blanche Neige et les sept nains ?) Bien. Mais avez-vous vu le film ? Magnifique, ce film. La même histoire, mais avec des chiens qui ne parlent pas. Et ça arrive à être tout aussi drôle, sinon plus. Une grande réussite, selon moi.
Mais la plus grande réussite reste le personnage de Cruella. Incarnée par Glenn Close, Cruella, directrice d'une maison de mode, est encore plus saisissante. Toujours vêtue de tenues extravagantes (et certainement hors de prix), même lorsque dans une grange, elle doit courir après un râton laveur qui lui a volé sa toque de fourrure (scène donnant lieu à une phrase culte : "chéri, vous êtes riddicule en rouge"), cette nouvelle Cruella ajoute au personnage un humour inattendu, jusque dans la scène de son arrestation, où la police la retrouve au milieu des cochons : "Cruella Denfer, vous êtes en état d'arrestation." "Oh, pour excès de maquillage ?"
Voilà donc un film que je vous recommande, ainsi que sa suite, Les 102 dalmatiens (le film que je regardais hier, après avoir miraculeusement retrouvé la cassette). Dans cette suite, Cruella sort de prison complètement changée par une thérapie qui lui fait aimer les chiens et détester les fourures. Elle se met donc à travailler au chenil de la deuxième chance, un refuge pour chien, sous la surveillance de Chloé Simons, chargée de veillée à ce qu'elle ne récidive pas. Clin d'oeil spécial à Ventre-à-terre, le rotweiler (ça s'écrit comment, ce mot ?) ailé qui parle (et dit tout ce que son maître n'ose pas dire). Un deuxième petit chef d'oeuvre, pour moi.